Ancienne élève des Beaux Arts, Fabienne Tiberghien a appris la base de son art grâce à la méthode Martenot. Sensibilité et créativité sont ses deux maîtres-mots. Ses tableaux mettent l'accent sur l’expression de la vie, du mouvement, de la lumière. Sa palette est riche, chaleureuse et personnalisée. Aimant jouer avec la couleur, elle est sensible à cette magie du voyage de la goutte menant à une progression abstraite ou à différents thèmes : grandes villes comme Paris ou New-York, sport, personnages, intérieurs, paysages.

La peinture , l’aquarelle en particulier est pour moi un prolongement de l’âme, et qui  que l’on soit, on ne peut mentir face à elle !

L’eau parce que c’est d’elle qu’il s’agit, peut être  terrifiante, apaisante, elle vaut son pesant de grâce et de transparence, elle est magique, transporte le peintre, transforme, celui ou celle qui sait s’en faire complice.

Sans respect, humilité, complicité et travail, l'aquarelliste n'est rien devant elle

Comprendre l’abstraction, c’est pouvoir sentir,  comprendre la composition dans sa globalité, amener le regard, le geste à l’essentiel.

L’Abstraction n’est pas la réduction en soi, les ressentis parleront par la forme, la couleur, … l’imaginaire sera interpellé par le fait de ne pas tout dire et l’artiste doit pouvoir amener le spectateur à rêver, uniquement par la suggestion. Quelle belle thérapie !

D’autres médiums permettent bien sûr l’abstraction, mais l’aquarelle est à mon avis, tellement subtile, qu’elle prend le spectateur par la main, c’est pour cela qu’elle agit comme  un miroir où l’on retrouve nos états d’âme, nos bonheurs, notre humeur, notre être en entier, se laisser emporter par l’imaginaire, par le non dit….

Laissez vous porter par votre imaginaire, restez libre et voyagez  par l’abstraction.

Catherine De Ryck

L’Aquarelle, médium vivant par excellence, s’impose à nous : il est nécessaire d’apprendre à la connaître, ne pas vouloir à tout prix la maîtriser et accepter les surprises plus ou moins heureuses qu’elle nous offre. Ce principe guide ma démarche artistique.

Dans cette optique, je me lance sans cesse dans de nouvelles expérimentations. Le sujet devient alors un prétexte qui sert à véhiculer une idée ou approfondir une technique bien précise.

Plutôt que de m’en tenir à la représentation fidèle, je préfère tirer parti des accidents de parcours, accidents que je cherche le plus souvent à provoquer lors de la construction d’une toile de fond : cernes, blancs laissés aux bords francs ou semi estompés, coulures, ajouts d’eau, …

C’est le voyage que j’offre à celui ou celle qui s’arrêtera devant le tableau et pourra, à son tour, interpréter ces trames colorées selon ce qu’elles lui inspirent.

Catherine SOURDILLON

Tôt j’ai eu les mains dans la peinture ou l’argile, avec des périodes plus ou moins remplies. Mais depuis quelques années l’aquarelle a pris la première place et, dès lors, je creuse chaque jour des passages pour la lumière dans les pigments, comme pour apaiser ma soif de couleurs. J’y cherche un équilibre entre le monde des rêves et la réalité … ce que j’appelle mes « Rêvalités ».

            J’alimente ma recherche de portraits, paysages, natures mortes, ne me satisfaisant jamais de ce que je sais faire, au risque de décontenancer, mais le seul désir auquel je tiens, c’est de pouvoir avec mes images continuer à raconter des histoires. Au point parfois de les mêler avec celles des autres lorsque j’illustre des livres de poèmes.

Lydie PIEPLU

Je découvre l'aquarelle en juin 2008, année de mes 40 ans, c'est tout de suite une grande fascination face à ces jeux entre pigments et eau. La possibilité aussi de retrouver le plaisir de s'exprimer sur le papier par le dessin et la couleur, plaisir mis de côté au lycée.

–        Stage aquarelle :

            février 2010 : avec  I. Fournier-Perdrix à la découverte des couleurs

            juillet 2009 : avec I. Founier-Perdrix à la découverte du travail dans le grand mouillé

–        Formation dessin :

Je suis membre actif du cours de dessin en ligne Signus depuis 2 ans. Rapidement le besoin de me former au dessin de façon rigoureuse s'est fait ressentir pour permettre d'exprimer mon envie de lier la réalité au rêve dans mes aquarelles, par une certaine rigueur du dessin et de la composition.

–        Manifestations diverses :

Quettehou, été 2011
Les marais aux pinceaux , juin 2011
Havre des Arts à Barneville-Carteret (prix du jury) , été 2010